Light House

PremiÉre journÉe

La nuit ayant été courte (couchés 4 heures et levés à 7), nous zonons de chaise longue en chaise longue, entre la plages, les deux piscines et notre chambre climatisée en essayant de programmer notre séjour.

Une réunion un peu longue, nous permet d'y voir un peu plus clair et de lâcher quelques billets (300€) pour les excursions.

De fait, nous repartons demain matin pour un périple de deux jours "Éphèse (oui, elles sont belles tes phèses) et Pamukkale (pas encore trouvé de jeux de mot pourrit)"

Bilan

Après discussion dans le bus, lors des excursions, certainement un des meilleurs hôtels du coin. Mais attention, certaines chambres ont vu sur ... le mur d'en face. Donc n'hésitez pas à payer le surcoût pour la vue sur la mer. Certaines chambres n'ont pas, non plus de terrasse privative. Nous sommes tombés sur l'une des très bonnes chambres.

Coup de chance.

 

Premier contact

On ne s'emballe pas, mais même dans le noir (nous sommes arrivée à trois heures du matin après une heure de car) j'ai bien remarqué que nous n'étions pas tout près de Bodrum. Une dizaine de kilomètres, je dirais. On a beau être en Juin, faut pas tenter (même avec une licence) de nous enfumer

A part cela, dans l'obscurité, il est plein de charme cet hôtel avec ses petites lumières, ses escaliers extérieurs, ... .

Et ça se confirme de jour. En fait, il est construit à flan de montagne. C'est une succession de plateaux. Ce qui fait qu'on n'a jamais l’impression d'être plus d'une vingtaine. ... à part au restaurant.

La chambre, que dis-je la chambre, la suite devrais-je dire, comprend une chambre, un salon, une terrasse et une salle de bain. ... oui, oui, avec une baignoire. Le tout climatisé et avec une vue ... splendide.

La plage

Par contre, la plage, inutile de vouloir y jouer au ballon. Pas la place. Trop de transat.

... Vous savez, ces fameux transats, où madame Bidochon se presse dés le lever du soleil pour y déposer sa serviette, afin de réserver son petit bout de territoire sur lequel elle viendra entretenir son cancer de la peau au moment où le soleil tape le plus fort. Bah oui, mais il faut bien qu'elle crane à la machine à café, en montrant qu'elle a passer de super vacances, elle. Alors si c'est au prix d'un petit mélanome malin, on s'en fout.

Un peu de sciences.

Le "mélanome malin" est ainsi nommé par opposition à la "vach'ment bronzée". En effet, l'un est malin, l'autre est stupide. Lorsqu'il y a rencontre entre les deux, c'est toujours le mélanome qui gagne la partie. ... et au "Game Over" il n'y a pas de "Same Player Play Again". ... oui je parle couramment le geek.