Il est  à peine 5 heures lorsque nous arrivons sur Budapest, la lumière est jolie. Je me précipite dans mes fringues pour immortaliser l'arribée dans la capitale hongroise. Et j'ai bien fait, de sauter dans mes vêtements, car outre le fait que de se balader à poil ne semble pas être le thème du voyage, un vent froid me saisi à la sortie sur la proue. ... et vous savez comment le froid peut nous rendre ridicule, nous les hommes et ruiner une réputation. :-)

 

                                                                        


Les valises sont faites et chargées à bord des bus et nous abandonnons le MS Vivaldi à 8h30 pour un tour à Budapest. Tout le monde est plus ou moins ému de quitter le personnel de bord qui a été aux petits soins pour eux durant ces +/- 9 jours.

 

                                                                                                 

 

Puis nous rejoignons l'aéroport, le France, la maison ... que Théo n'a pas fait brûler en notre absence.