peine installés, Maeva, en discutant avec deux dames, apprend qu'il y a moyen de voir des vautours en vol, tout en étant à leur hauteur, en empruntant le chemin de la corniche de la Jonte. Je n'ai toujours pas trouvé de jeu de mot pourri avec "Jonte". C'est ainsi que la ballade est programmée pour le lendemain matin, à la fraîche, car il convient d'être sur zone au moment des fortes chaleurs, car les vautours utilisent les vents ascendants pour voler à moindre effort.
a surprise provient du fait que ces dames, randonneuses chevronnées, s'adressaient à des plus que débutants, dont un qui en plus, se trimballait plus de 15 kilos de matos sur le dos. Et comme beaucoup de "pro" dans beaucoups de domaines, elles ont perdu la notion de ce qui est faisable ou non, par le commun des mortels. La ballade qui suivait une partie du GR6 s'est vite transformée en calvaire. D'autant que les vautours n'étaient pas au rendez-vous. ... enfin, si, mais de loin, de très très loin. ... et
je les soupsonne même de nous avoir envisagé pour le repas.
i l'envie vous prend de tenter l'aventure du vide, munissez-vous de bonnes chaussures et de beaucoup d'eau. Un à deux litres par personne.
Les paysages sont magnifiques et les courbatures s'oublient vite. Pour infos, le petit village sur le côté de la corniche sur la photo, à droite, s'appelle, Le Rozier. ... et c'est de là que part et revient la randonnée. Pour lire la suite de nos péripéties, cliquez sur l'arbre.