J-2 Madrid / Santiago / Punta Arenas:

 

Le décollage pour Santiago se fait donc avec 1/2 heure de retard.

 

Rien à signaler sur ce long courrier, à part le côté "cheep" d'Ibéria. Pas de petite trousse avec brosse à dents, sur-chaussettes ... . Grosse médiocrité des plateaux repas, aussi. Tant en qualité qu'en quantité.

 

L'arrivée à Santiago se fait sous forme d'une immense queue (non, je ne vais pas vous refaire la blague du film porno) de deux heures d'attentes pour vérifier la paperasse. Oui oui, la même qui a été vérifiée à CdG puis à Madrid.

 

En prime et de façon aléatoire, Maeva, Nathalie et Djo, sont contraintes à passer au test PCR. Aléatoire ... on va dire ça. En fait mon charme légendaire a encore fait fondre l'officière du contrôle sanitaire.

 

Nous profitons de l'attente pour le vol vers Punta Arenas pour aller nous restaurer ; excellent premier contact avec la bouffe chilienne (54 120 pésos) ; en compagnie d'Anne de Korke, qui est venu nous déposer les voucher pour notre séjour. A oui, un détail, il doit faire 33°.

 

Anne n'est pas notre contact habituel avec  Korke, mais elle a tenu à venir (non, non, pas à cause de mon charme légendaire) car c'est elle, qui deux ans plus tôt, m'avait appelé pour annuler le voyage initial, ... alors que nous attendions le taxi pour nous emmener à l'aéroport.

 

Vers 15h, nous embarquons pour Punta Arenas, dans un avion de la Latam. Avion que nous aurions préféré avoir pour le vol transatlantique. Chouette, chouette, chouette, encore une surprise qui nous attend à Punta Arenas.

 

Je laisse un temps pour vous permettre de deviner à quelle surprise, nous avons eu droit. .................................................. non? Vous ne voyez toujours pas?

 

Aller, faites un effort ................................................................. Toujours pas. Pfffffffff vous ne faites aucun effort.

 

Donc voici:

En dehors d'une météo, digne d'un mois de Novembre à Paris, la surprise vient du fait que nos bagages (tous nos bagages) ont visiblement décidé de prendre des vacances ailleurs. ... Toujours avoir un change de linge de corps, dans son bagage à main.

 

Le temps de faire les démarches et le chauffeur nous dépose à l'hôtel Yegua Loca pour les repas du soir. Excellent (84 480 pésos).

 

La douche et dodo .

 

Dernière minute, à 23h, Anne (qui ne dort jamais) m'envoie un message pour me prévenir que les bagages sont à l'aéroport de Punta Arena. Nous les récupérerons demain matin en partant pour Torrès del Paine ... on croise les doigts.